Dans la tiédeur cendrée, couve l'amour
Sur le papier de soie
De nos fébriles émois
Dorment nos rêves morts nés
Sous la mousseline
De nos humeurs badines
Reposent nos mots doux avortés
Sous le lit de cendres poudré
De notre passion consumée
Couve l’amour qui encore rougeoie
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